Expos Palais de Tokyo
Patrick Neu
"Les choses paraissent fragiles mais, en fait, c'est toute la vie qui est fragile. Je ne cherche ni à rendre un travail fragile, ni à le condamner à disparaître. C'est simplement ma manière de faire."



Montage vidéo d'après une série de dessins de Patrick Neu sur une musique de Gabriel Sadoun (live du festival play me I'm yours)
Céleste Boursier-Mougenot
L’acquaalta est cette inondation annuelle touchant la lagune vénitienne. À l’été 2015, ce même phénomène s’empare des espaces du Palais de Tokyo.


Isabelle Cornaro
L'artiste présente conjointement monochromes (Reproductions #1, Reprodictions #4) et paysages (Reproductions #7). Produits à l'aide de peinture projetée au rendu tangible, ils gardent les proporitions d'une projection cinématographique, ce qui leur confère un aspect fortement perceptif.


Graffitis de LEK et SOWAT DMV d'après un poème de John Giorno

Hannah Bertram
L'artiste a conçu un papier peint réalisé grâce au détournement de la technique habituelle du flocage. Si les motifs reprennent les éléments du style décoratif victorien, la poussière de velours utilisée au XVIIIème siècle est ici remplacée par des particules de poussières récoltées dans les couloirs du Palais de Tokyo, les catacombes de Paris et l'église Saint-Merri, auxquelles l'artiste a ajouté les cendres de ses propres dessins.


Léa Perrot-Minot